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Le tercio de piques: évolution, transformation ou disparition

Le tercio de piques: évolution, transformation ou disparition

Le tercio de varas : toute une histoire
Les origines

Il y a un monde entre la corrida du  18ème siècle et celle du 21ème. La tauromachie est en permanente évolution et adaptation au contexte économique et sociologique. Le tercio de piques, comme les autres, a connu des changements progressifs et d’autres plus radicaux.

A l’origine de la corrida, le cavalier était roi. Les nobles jouaient à poursuivre et tuer les toros au moyen de lances. Petit à petit la noblesse s’est désintéressée des jeux taurins. Le peuple, sous l’impulsion des navarrais, s’est emparé du monde des toros et la tauromachie à pied à pris le dessus sur celle à cheval qui ne retrouvera qu’une partie de son lustre avec le rejoneo. Le torero, homme du peuple, devient le personnage principal de la liturgie taurine. Seul souvenir de la présence de l’aristocratie, le picador continue à toréer à cheval. C’est au début le troisième frère d’une famille noble, celui qui s’occupe des exploitations agricoles comme en témoigne le pantalon des piqueros actuels directement inspiré de celui des exploitants agricoles de la fin du 18ème. Petit à petit, la fonction de picador sera assurée par des mayorales ou vaqueros.

Le rôle du picador évolue

Au début piétons et cavaliers coexistent. Le piquero (ou les piqueros) est présent dès la sortie du toro et tel un rejoneador l’affronte dans toutes les zones du ruedo.  Progressivement le matador devient le personnage central de la corrida, et celle-ci devenant de plus en plus codifiée et règlementée, le picador voit ses interventions limitées et se retrouve cantonné dans un secteur de l’arène et n’est plus présent en piste que pour une durée limitée.  Au début le piquero fait tout pour protéger son cheval, qui est sa propriété. En particulier il se positionne de frente et tient le toro, avec sa lance, le plus éloigné.

Bravoure = nombre de chevaux tués.

Un beau jour, un matador se rend compte qu’en mettant le cheval parallèle  (ou contre les planches) l’action du piquero est bien plus efficace. A l’époque, les toros sont des mansos qu’il faut châtier pour permettre au matador de les tuer après quelques passes d’alignement.  Cette évolution dans la manière de piquer aura pour conséquence d’exposer le cheval, qui est à partir de ce moment fourni par l’empresa, aux cornes des toros. Nombreux sont les équidés qui meurent en piste ou dès leur retour au patio de caballos. La bravoure des toros se mesurent alors au nombre de chevaux tués. Les haridelles sacrifiés sont souvent des chevaux  âgés, retraités des activités agricoles et de transport, qui font un détour par l’arène avant d’aller à l’abattoir.  

Début du 20ème siècle, il y a moins de chevaux dans les champs et sur les routes. Leur prix augmente forcément. Et puis le public supporte de moins en moins la vue des chevaux éventrés qui gisent dans le ruedo avant d’être évacués par l’arrastre. Ce produit alors une révolution qui va impacter le premier tercio. Primo de Rivera impose le port d’une protection pour les chevaux. C’est celle du Français Heyral qui sera celle utilisée. A partir de ce moment-là, il devient rare de voir un cheval de picador mourir dans l’exercice de sa fonction.  La bravoure des toros est alors évaluée au nombre de rencontres avec le groupe équestre.

La muleta prend le leadership sur le palo

L’apparition du peto coïncide avec la période post Joselito- Belmonte. Auparavant le troisième tiers se limitait à quelques muletazos et à la suerte suprême. A partir de cette époque la faena de muleta devient ce que le public vient voir aux arènes. Ce qui se passe avant est perçu au mieux comme un mal nécessaire.

Le toro va aussi évoluer pour permettre ces faenas longues. Le Domecq qui  doit être économisé au cheval pour durer au troisième tiers, devient l’encaste « hégémonique ». En effet ce toro est un sprinter et pas un coureur d’endurance et encore moins un haltérophile. C’est selon les vétairibaires une histoire de longueur de fibres musculaires.

Le public est de plus en plus animalo-sensible. Il ne supporte plus la « brutalité «  du premier tiers. Le règlement est modifié on passe de trois à deux piques obligatoires . En Amérique du Sud, dans nombre d’arènes espagnoles, la mono pique devient la règle.

En France, les piqueros rentrent en piste sous les huées.  

Les chevaux sont de plus en plus lourds. Les petos aussi, cela amènera Victorino Martin père à entrer en conflit avec les picadors et les matadors.

Parallèlement la modification de la pique la rend plus efficace et moins « meurtrière ». Du coup, dans l’esprit des piqueros, la puya ne rentre pas. Pour passer la barrières des cordes, ils commencent à vriller et à piquer « à l’envers ».

La revalorisation du tercio de piques en France

En réaction à ces dérives, une partie de l’Aficion se rebelle. La France, et en particulier, le Sud-ouest est en première ligne de ce combat. Après l’allègement des petos (rendus plus efficaces), certaines cuadras (dont les françaises) font un effort sur la qualité des chevaux utilisés. Des modèles de piques plus « softs » sont mis en service.

On assiste dans certaines arènes, en particulier, françaises a un renouveau du premier tiers. Parfois cela se fait avec une certaine exagération. Les premiers tiers sont souvent scénarisés. La poussée au contact du fer devient moins importante que le galop d’un toro placé. Le placement du toro concourt plus  à la mise en scène de ce tercio. Parfois le public confond cheval qui recule et toro qui pousse. Dans certaines arènes, on impose un nombre de piques plus importants que nécessaires. On applique la même scénographie aux toros faibles, mansos ou braves. Malgré ces petites imperfections ces arènes françaises et quelques espagnoles ont quand même réussi à devenir des endroits où l’on peut vibrer lors d’un premier tiers. On l’a fait à San Agustin, Orthez, Dax et Vic cette année.

Ce n’est pas le cas dans toutes les arènes

Dans les autres arènes, le tercio de piques est de plus en plus le parent pauvre de la corrida. Les arènes de première catégorie ne sont pas épargnées.

Soit on s’en tient à la mono pique et celle-ci est forcément appuyée ou dans celles où les deux rencontres sont obligatoires, la première est assassine et la seconde anecdotique.

Les mêmes piqueros qui sont capables de très bien piquer et de permettre trois rencontres de verdad à chaque toro à San Agustin de Guadalix, se comportent en « sagouins » à Madrid le lendemain.

Le tercio de varas : quel avenir?

Du 18ème à nos jours, le tercio de piques a donc comme la corrida évolué. Ce sont deux facteurs qui ont servi de « moteur » à cette évolution. Le premier est l’évolution de la sensibilité des publics (et de la société). Il est à l’origine par exemple du peto en 1934. Le second est la place prépondérante de la faena de muleta ou plutôt de l’aspect spectacle de celle-ci.

Aujourd’hui dans la majorité, le tercio de piques est réduit à la portion congrue d’une pique unique. On applaudit les picadors qui ne piquent pas. On ne crie plus « dale » mais « quita el palo ».

Quelques irréductibles résistent mais ils risquent de s’épuiser et céder à la pression du « il faut qu’il y ait plus de monde sur les gradins. »

Les deux moteurs d’évolution, sensibilité du public et prépondérance de la faena, continuent à agir inexorablement.  

Disparition ?

S’il est clair que comme la corrida le tercio de piques continuera à évoluer, on peut se poser la question de sa transformation ou de sa disparition.

La menace générée par les anti-taurins n’aura pas d’effet direct sur le premier tiers. Ils sont globalement contre la corrida et même la disparition ou toute évolution de la suerte de varas ne les contentera pas. 

C’est en interne que se situent les principaux risques. Si le public par manque de culture taurine, par souhait d’une corrida non violente ou parce que seul le travail du matador l’intéresse se désintéresse du premier tiers, celui-ci pourrait disparaitre. Ainsi ont disparu les chiens ou la demi-lune utilisés autrefois avec les toros mansos.

Ce qui fera que le tercio de piques persistera, et les toreros le savent bien, c’est qu’on ne peut toréer puis tuer un toro qui n’a pas pris au moins une pique.

Au moment du COVID, Garcigrande a fait tuer un certain nombres de toros en privé sans pique. Toute figura qu’ils étaient, les matadors de service ont sué sang et eau au moment de porter l’estocade.

S’il n’y a quasiment plus aujourd’hui d’alimañas qu’il faut châtier, les toreros sont conscients que la pique est nécessaire si on veut lidier des animaux de quatre ou cinq ans.

Sauf à diminuer l’âge ou le volume des animaux lidiés, le tercio de piques résistera et ne disparaîtra pas mais gageons qu’il se transformera ou  évoluera.

Transformation ?

L’hypothèse disparition écartée, quelle pourrait-être une transformation du ce tercio. Peut-on envidager par exemple l’intervention d’un rejoneador en lieu et place du groupe équestre d’aujourd’hui? Se poserait la question de la protection du cheval qui ne peut passer par le dépointage du toro,et le fait que les rejones de castigo font souvent plus de dégâts qu’une puya traditionnelle. Par ailleurs, les ganaderos ont besoin de voir leurs produits dans un tiers traditionnel, même pour une fois, afin de mesurer le réelle bravoure et l’efficacité de leur sélection.

On peut raisonnablement penser que le tercio de piques est à l’abri d’une transformation radicale. Il continuera à être l’opposition du toro face à un cavalier équipé d’une lance, l’un allant à la rencontre de l’autre.

Evolution ?

Reste l’hypothèse sinon la certitude que le tercio de piques va continuer à évoluer pour répondre à la plus grande sensibilité du public et, cette volonté qui ne faiblit pas, de voir des faenas longues et spectaculaires.

Le nombre de piques réduit bien souvent à l’unite, il n’est pas possible de faire moins. L’évolution portera selon toute vraisemblance sur l’intensité et l’impact physiologique sur le toro.

On voit déjà des piques s’apparenter à des mêlées simulées. Le toro sort du contact quasiment sans que la pointe de la pique ne le « blesse ». Selon les volontés du matador les tercios de varas risquent de se  limiter à un pique simulée ou à une unique pique habilement efficace. Le matador choisira en fonction de sa motivation et de la dangerosité de l’animal.

De nombreuses études et expérimentations  sont en cours pour diminuer l’impact de la pique sur le toro. Certaines ont déjà été intégrés au règlement comme le modèle de piques français. Attention à ne pas aller trop loin. On utilise déjà la pique de tienta de macho lors des rares troisième ou quatrième rencontres. Le risque est grand, et dans l’intention d’augmenter le nombre de rencontres, de la généraliser. Elle permet en tentadero d’augmenter le nombre de rencontres. Elle sait préserver un macho qui potentiellement pourrait être conservé. Son effet n’est que sous-cutané. En aucun cas, elle ne permet d’influer sur le comportement du toro comme une pique normale.

Maîtriser l’évolution

Inéluctablement le tercio de piques évoluera vers ce qu’il est dans certaines arènes aujourd’hui et plus particulièrement de l’autre côté de l’Atlantique, un simulacre. Que faire pour le « protéger »?

A ce moment de notre réflexion, on peut se dire que résoudre la quadrature du cercle est plus simple que concilier premier et troisième tiers, torisme et torerisme. Certains organisateurs s’impliquent pour mettre en valeur le tercio de varas.

On ne peut pas (ou plus)  défendre aujourd’hui un tercio de piques qui empêche toute faena. Le toro doit être des trois tiers. S’il n’est que du premier tiers, l’évolution des publics actuels fait que les gradins se videront. S’il n’est que du troisième, et sélectionné pour, la race brave perdra son agressivité et les publics se lasseront de la mise à mort de toros qui « mangeraient » presque dans la main des toreros. Les gradins se videront aussi.

Quelles évolutions?
Le règlement ( au moins celui de l’UVTF) doit évoluer pour contrôler l’évolution du tercio de piques

Tout d’abord, il faut revenir à deux piques obligatoires et imposées par novillo ou toro.

La diminution du nombre de rencontres est un piège. On est passé de trois à deux puis dans beaucoup d’arènes à une. Cette fuite en avant ne répond à aucun problème. Elle en crée d’autres avec des premières piques que les piqueros, aux ordres des maestros, savent rendre efficaces. La généralisation par voie règlementaire de la mono-pique à toutes les arènes serait une hérésie. Et puis pourquoi devrait-on moins piqué en première qu’en troisième catégorie? La réalité est que cette pique unique est surdosée. Piquer est un élément de la lidia. Ce n’est pas la catégorie de l’arène qui dicte la lidia adaptée à chaque animal. Aucun toro ne supportera une mauvaise pique. La grande majorité peut en supporter deux données avec application et mesure.

A San Agustin de Guadalix, correctement piqués (à trois reprises), les toros de Prieto de la Cal et Cuadri ont permis, avec les particularités de leur encaste, un troisième tiers intéressants. En 2024, les Sobral de Céret, ont pris pour la plupart trois à quatre piques, et ont permis eux aussi aux toreros des faenas. Les Jandilla des vendanges nîmoises ont fait preuve de caste et de race aux trois tiers. Le public est sorti heureux des arènes.

Le tercio de piques doit clairement intervenir dans l’attribution des trophées

Il faut prendre en compte la lidia du toro (mise en suerte, manière de piquer et emplacement de la pique) au premier tiers pour l’attribution des honnneurs attribués au toro mais aussi des trophées au torero.

Pas de vuelta si le toro a pris une seule pique, pas d’indulto s’il n’en n’a pas pris trois (possibilité de la pique de tienta à la dernière).

Redonner de l’autorité aux organisateurs vis-à-vis des piqueros

Cest un des chevaux de bataille des organisateurs de San Agustin. La réussite du premier tiers dépend de l’application que les piqueros mettront à remplir leur mission. Elle dépend aussi de l’intérêt que trouveront les matadors à leur permettre de le faire. Ils imposent aux matadors le choix d’un de leurs deux piqueros et expriment avec force leurs attentes aux différents acteurs de leurs corridas.

L’argent étant le nerf de la guerre,  la généralisation du prix au meilleur piquero de la course ne peut que les inciter à mieux piquer.

Imposer des critères de qualité aux cuadras de caballos dans les appels d’offre les concernant. La France l’a fait et a la chance d’avoir deux cuadras très différentes mais de qualité.

On ne fera pas bouger toutes les arènes et tous les professionnels. Mais la France avec Vic, Orthez, Ceret, Aire, Saint Martin de Crau, Alès, Beaucaire et l’Espagne avec San Agustin ont réussi à donner de l’importance au premier tiers. D’autres arènes (Dax, Mont de Marsan, Bayonne) chez nous l’ont mis en valeur lors des corridas dures de leurs Férias ce qui a permis de toucher un public plus large que le public purement toriste..

Orthez a vibré avec l’extraordinaire tercio de piques de Gabin Rehabi et Yeguezo de Dolorès Aguirre. Normal pour une arène à philosophie toriste direz vous! Pourtant le public dacquois a ovationné, un jour d’Agur 2024,  le même Gabin Rehabi et le dernier Pedraza de Yeltès. Ce fut la rencontre d’un toro encasté et d’un piquero qui a bien fait les choses, faisant vibre deux publics totalement différents.

Histoire de bascule

Il y a quelques années, les chevaux de piques étaient des mastodontes. Même si les toros les plus braves, comme Garapito à Vic, sont capables de mettre à mal ces tanks sur pattes, la plupart des tercios ressemblaient à la lutte entre un mélée de minimes face à un pack de Top 14.

Sous l’influence de la France, le poids moyen des cuadras a baissé et le législateur a inscrit dans le règlement cette évolution. Vouloir baisser encore le poids des chevaux serait contreproductif voire dangereux pour les cavaliers avec des montures trop légères pour resister à la force des toros. Commençons par faire appliquer la législation actuelle, ce qui n’est pas le cas chez certaines cuadras espagnoles. Sur le modèle de ce qui se fait en France, le cheval de pique du futur devra être un cheval maniable pour favoriser le travail du piquero, et avec du moral pour qu’il soit actif et acteur dans le combat que doit être le tercio de varas.

Conclusion
Non le tercio de varas n’est pas mort.   

Nous sommes toutefois arrivés à un stade où si on continue à le laisser évoluer de façon naturelle sous l’effet de la sensibilité animaliste qui touche aussi ceux qui vont aux arènes et l’intérêt « prépondérant » du public pour le troisième tiers, rapidement le tercio de piques à la mexicaine sera le standard appliqué dans toutes les arènes.

Pour éviter cette dérive et qu’à terme, les toros ne soient plus que des faire valoir, que l’émotion liée à leur « ardeur combattante » ne soit plus qu’un souvenir, quelques rappels à la règle ou quelques adaptations règlementaires sont nécessaires. Le retour aux deux piques minimum dans toutes les arènes et la subordination des récompenses accordées au toro et au toreros à la qualité de la réalisation du premier tiers un élément prépondérant.

Utopie ou nécessité

L’encouragement des actions et initiatives destinées à rendre plus spectaculaire le premier tiers est nécessaire. C’est aussi de la responsabilité des aficionados qu’ils soient toristes ou toreristes. Le grand public, si le premier tiers lui semble « éthique » et spectaculaire finira par se ranger à l’opinion de l’aficion.

Cela peut paraître utopique, mais la maîtrise de l’évolution de la tauromachie  (de la pique à l’estocade) emmène tout droit vers la corrida sin sangre.

Il y aura toujours des toros de premier tiers et d’autres de troisième et d’autres bons ou mauvais dans les deux tercios. Mais ils doivent  s’exprimer dans les deux moments de leur présence en piste. Sinon le public se lassera de s’ennuyer devant des faenas longues et sans diversité ou des corridas dites dures où il ne passe rien. Que l’on soit protégé de la production de toros spécifiques pour un tiers ou pour l’autre. Perte d’agressivité et de transmission ou un genio excessif seraient nos punitions.

Torisme et torerisme sont des manières différentes de regarder et ressentir la même corrida. Ce ne sont pas des types de corridas. Ce ne sont pas des caractéristiques que l’on attend du toro. Il doit être brave (et c’est au cheval que cela se mesure) et noble (et c’est à la muleta que cela s’évalue).

Thierry Reboul

2 réflexions sur “Le tercio de piques: évolution, transformation ou disparition

  • Roger Dominique

    VIC 2026 : Gabin Réhabi (notre Morante de la Lidia à Cheval honoré à Orthez & San Agustin de Guadalix) installé en résidence comme antidote au VIC 2025.

    Une resucée jouissive des Tontons Flingueurs à tous les repas (pas les César Fournier & Curateur Casas de la Maison Carré flinguant le Centurion UVTF Dubois), « Les cons ça ose tout et c’est même à ça qu’on les reconnaît », du Gabin sans Audiard mais avec Bonijol, vulgarisations (Académie Bonijol) & débats en apéro le Vendredi (en filigrane, Cigarrero de Dolores Aguirre VIC 2025 & analyses scientifiques de Julio Fernández San Isidro 2024).

    Chers CTV, la « Suerte de Varas » vous remerciera.

    D.ROGER

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  • Sabatier Patrick

    Bonjour Thierry
    La 3eme alinea en partant de la FIN de l’article sur la pique me semble être un contresens à moins d’une incompréhension de ma part : « cela peut paraitre utopique mais la NON maitrise de l’evolution de la pique…… » ne semble t il pas mieux adapté au sens des propos? A mon avis, il manque le NON. Ceci mis à part, l’article est très intéressant car il permet de réfléchir à une réglementation plus adaptée pour conserver l’éthique du premier tercio. Cordialement Patrick Sabatier

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